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Visite à Villa Mercedes (San Luis)

Publié le par FrançaisduMonde.adfe.conesud

Du mardi 22 au vendredi 25 novembre, j'étais en visite dans la ville de Villa Mercedes dans la province de San Luis. Ce déplacement m'a permis de rencontrer des Français mais aussi des Argentins souvent issus de l'ancienne immigration du XIXème siècle ou encore des francophiles, amoureux de notre culture et toujours prompts à conserver voire tisser des liens avec notre pays.

Dans un premier temps, je dois tout particulièrement remercier Mme Cristina Aubert, animatrice de l'émission de radio "Contacto en Francia" sur Radio Mercedes 94.9 et élément centripète de tout ce qui touche à la culture française à Villa Mercedes. Cristina a organisé ma visite de main de maître; une visite aussi riche que variée, me permettant de rencontrer  un grand nombre d'habitants de cette charmante ville provinciale ou de visiter des lieux insoupçonnés montrant le désir constant des "Mercedinos" à conserver des liens avec leur histoire tout en se projetant constamment vers l'avenir dans un dynamisme remarquable.

Difficile de passer sous silence l'incroyable accueil que j'ai reçu tout au long de mon séjour. Un accueil où se mélangèrent la gentillesse et la constante disposition à se rendre utile, bref, une impressionnante chaleur humaine bien plus forte que le climat estival et pourtant redoutable qui m'a accompagné durant ces quelques journées.

Dans les locaux de la municipalité, et en compagnie de Mmes Aubert et Marina Lara, sous-secrétaire de la culture de la municipalité, j'ai eu le plaisir d'être reçu par le maire de la ville, M. Maximiliano German Frontera. Pendant cet entretien, nous avons pu échanger sur de nombreux thèmes dont, bien entendu, la très grande implication de l'émigration française dans l'histoire de la ville et son développement.

A ce titre, on peut retrouver dans le hall principal une plaque déposée en 2006 par le consul général de l'époque, M.Dominique Homa, à l'occasion du cent cinquantième anniversaire de la fondation de la ville; preuve s'il en était de réaliser le rôle joué par nos ancêtres à Villa Mercedes. Il suffit de rappeler que Léon Guillet (?-1933), fils de Louis Guillet et Marie Socquet arrivés en 1871 depuis la France, naquit dans cette ville et fut maire de Villa Mercedes en 1916 puis gouverneur de la province de San Luis (1922-1926). Un exemple parmi d'autres, mais tout de même symbolique, pour montrer l'importance de la présence française dans cette région; présence que nous avons un peu tendance aujourd'hui à oublier. Et pourtant, au détour d'une rue, à la lecture d'une devanture d'un commerce ou d'un page jaunie d'un vieux journal d'époque, tout nous ramène à la venue de nos compatriotes dans cette contrée lointaine.

Justement, dans un des salons mis gracieusement à ma disposition par le personnel de la Maison de la culture de la ville, j'ai pu ensuite rencontrer des Français, il en reste très peu, et des Argentins d'origine française mais ayant perdu leur nationalité française. Cet échange nous a permis de parler bien entendu de la possibilité de récupérer cette nationalité, tâche difficile, mais aussi de comprendre à quel point notre pays, malgré les années passées, reste présent dans l'esprit de ces descendants de familles françaises.

Enfin, j'ai partagé un excellent repas avec les membres de la collectivité française de Villa Mercedes. Évoquant des souvenirs de parents ou grands-parents, narrant quelques  anecdotes savoureuses, rappelant les classes de français qui existaient antan, tous ces sujets échangés durant cette charmante soirée nous mettait parfaitement en phase avec le lieu  dont la décoration rappelait une certaine époque héroïque.

Ce séjour, trop court, m'a permis de retrouver non seulement des compatriotes dans le présent mais aussi la trace indélébile laissée par nos ancêtres dont on aurait peine à comprendre toute l'aventure vers l'inconnu que représentait, pour ces femmes et ces hommes, une installation souvent définitive dans cette province reculée de l'Argentine. 

J.Guillot

Conseiller des Français  de l'étranger en Argentine

Voir aussi dans notre blog

Réécouter l'émission de radio avec Cristina Aubert:

Les conseillers des Français d'Argentine invités à "Contacto en Francia" en Radio Mercedes 94.9

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Visite à Mar del Plata

Publié le par FrançaisduMonde.adfe.conesud

Dans le cadre de la visite consulaire qui s'est déroulée les 14 et 15 novembre derniers, je me suis rendu à Mar del Plata pour la seconde fois cette année à la rencontre des Français de l'étranger vivant dans cette ville opportunément appelée "La feliz".

En sus de visites particulières auprès de compatriotes en proie à des difficultés inhérentes à leur dossier "retraite", un sujet récurrent lorsque des Français nous contactent, j'ai eu le plaisir et l'honneur de visiter avec M.Patrick Renard, consul général de France en Argentine et M.Dominique Zigliara  consul honoraire à Mar del Plata, la base navale argentine de Mar del Plata où se trouvent quatre patrouilleurs d'origine française utilisés pour prévenir les bateaux de pêche étrangers qui seraient tentés de passer la fatidique limite virtuelle des 200 miles nautiques afin d'aller récupérer quelques calmars dans les eaux argentines.

Nous avons été également reçu par l'actuel maire de Mar del Plata, M. Guillermo Montenegro. Dans une conversation à bâtons rompus mais néanmoins très instructive, nous avons pu évoquer quelques aspects de la cité "marplatense", du vécu en tant que maire de la si difficile période de la pandémie du Covid que nous avons connue et bien sûr des relations franco-argentines qu'elles soient économiques ou sportives. On sait que M.Montenegro est un grand spécialiste du rugby et l'on connaît les chaleureux rapports entre la France et l'Argentine sur ce point.

Avec mon collègue conseiller des Français de l'étranger, Christophe Dubois, j'étais également présent lors de la réception offerte aux Français de Mar del Plata ce qui nous à permis d'échanger avec de nombreuses personnes dans une ambiance sympathique et amicale.

J'ai également été invité à partager un moment avec une famille française et argentine installée de longue date à Mar del Plata, la famille Lefrou et Diaz. Une rencontre chaleureuse où nous avons pu évoquer, autour des traditionnels petits plats de la merienda (goûter) argentine, quelques aspects de l'importance de rester en contact avec notre pays. Des moments où je me sens totalement en phase avec mes fonctions actuelles.

Enfin, je suis allé au cycle de ciné français organisé régulièrement par M. Zigliara. pour assister à la projection des "Yeux sans visage" (1960) de Georges Franju. L'occasion, devant une salle bien remplie, de voir un film français d'une autre époque ayant servi plus tard de référence à de grands réalisateurs. Une soirée symbolisant aussi le double intérêt porté par le public à la projection d'œuvres singulières et au cinéma français.

Bien sûr, et je le regrette, cette courte visite ne permet pas de rencontrer toutes les personnes ou alors trop vite. Aussi, n'hésitez pas à me contacter si nous n'avons pas pu évoquer une difficulté ponctuelle que vous rencontrez ou si, tout simplement, nous n'avons pu comme prévu échanger. 

J.Guillot

Conseiller des Français en Argentine 

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...le bac français international

Publié le par FrançaisduMonde.adfe.conesud

Pour accéder à toutes les informations concernant le nouveau bac français international (BFI) qui succède à l'option internationale du baccalauréat (OIB), rendez-vous sur le site éduscol.fr:

Cliquez sur:

Le baccalauréat français international (BFI)

Et aussi dans la revue du journal des Français à l'étranger.fr

La place des enseignements internationaux spécifiques s’impose un peu plus dans le monde de l’enseignement grâce à la création du baccalauréat français international (BFI). Ce dispositif pourra être choisi par les élèves à compter de la rentrée scolaire 2022.

Cliquez sur:

Le nouveau baccalauréat français international

 

 

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Guide d’accès à l’IVG pour les Françaises établies à l’étranger

Publié le par FrançaisduMonde.adfe.conesud

Voici une belle avancée pour les Françaises vivant à l'étranger. Mélanie Vogel, sénatrice EELV des Française.es de l'étranger nous présente un "document pratique réalisé par [ses] équipes [et qui] explique les moyens qui existent aujourd’hui pour avoir accès à l’IVG en résidant à l’étranger, et les ressources possibles pour les Françaises vivant dans des pays où l’accès à l’IVG est restreint, voire interdit."

Cet automne, Mélanie Vogel travaille sur une loi pour défendre l’IVG pour toutes partout afin que la France agisse pour améliorer l’accès à l’IVG à l’étranger. Parmi les propositions figurent notamment le rapatriement des personnes de nationalité française empêchées d’avoir accès à l’avortement, une meilleure prise en charge sociale des frais liés à l’IVG, des campagnes d’information des postes consulaires, le financement des associations qui permettent l’accès à l’IVG dans le monde ou encore la délivrance de visa temporaire et la protection de toutes celles qui, de par le monde, risquent des poursuites pénales pour avoir avorté. Sans attendre l’amélioration de l’accès à l’IVG par la Loi, elle a également réalisé un guide pour venir en aide et donner des réponses à nos compatriotes vivant à l’étranger qui souhaitent interrompre leur grossesse.

Pour accéder au document en pdf:

Français·es de l’étranger : accès à l’IVG

Cette action est soutenue, entre autres, par Jean-Yves Leconte, sénateur des Français établis hors de France:

Droit des femmes à l’IVG en France et à l’étranger.

Lire aussi sur le site des Français à l'étranger.fr

Quel accès à l’IVG pour les Françaises de l’étranger ?

Publié dans Actualités

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J.Guillot, conseiller des Français en Argentine, lettre d'information n°5

Publié le par FrançaisduMonde.adfe.conesud

Voici ma cinquième lettre d'information à l'adresse de la communauté français vivant en Argentine.

Lettre d'information n°5

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Le long parcours d'une Française de l'étranger pour obtenir sa retraite française.

Publié le par FrançaisduMonde.adfe.conesud

Lors d'un post précédent, nous avons pu lire toutes les difficultés qui attendent un Français de l'étranger désireux d'obtenir sa retraite via la convention bilatérale franco-argentine. Dans ce second volet, nous retrouvons notre témoin aux prises cette fois-ci avec sa demande de retraite française. On pourrait croire, dans un a priori quelque peu subjectif et suffisant, que les choses sont plus simples avec l'administration française. Loin s'en faut: il faudra bien vite se rendre à l'évidence que ce n'est pas du tout le cas.
La dématérialisation des démarches ajoutée aux restrictions budgétaires de ces dernières années sont, en partie tout du moins, passées par là.
J.Guillot
 

Six mois avant la date de mon 62ème anniversaire, j'ai décidé de commencer les démarches pour obtenir ma retraite française. J'avais déjà obtenu ma retraite argentine dans le cadre de la Convention [franco-argentine] et toutes mes démarches auprès de l'administration argentine avaient été extrêmement pénibles. En effet, l'administration locale avait mis deux ans pour traiter mon dossier et calculer correctement le montant de ma retraite. Par conséquent, je ne souhaitais absolument plus avoir affaire à elle pour demander ma retraite française.

Je pensais qu'ayant déjà mis à jour ma carrière dans les deux pays lors de ma demande de retraite, j'allais pouvoir faire les démarches sur le site Internet de l'Assurance Retraite où j'avais déjà un compte. Mais pour cela je devais me connecter via France Connect et ce fut un problème majeur car je n'ai pas pu obtenir d'identifiant ne disposant ni d'un compte Amélie, ni d'un compte sur le site des Impôts, ni de numéro de téléphone portable Orange...  J'ai dû utiliser le site de la Poste et créer un compte sur l'Identité Numérique. Ce fut un véritable parcours du combattant car il fallait fournir un numéro de téléphone portable mais l'indicatif de l'Argentine ne figurait pas sur la liste des pays "acceptés", contrairement à d'autres pays sud-américains comme le Chili ! Pour pallier à cette situation, j'ai dû utiliser le numéro de portable d'une amie française.
Après plusieurs heures passées à essayer de réaliser la vidéo requise, de télécharger les photos des pièces d'identité et de contacter une amie en France qui me permette d'utiliser son numéro de portable pour y recevoir le code de sécurité envoyé par la Poste, j'ai finalement obtenu mon identifiant de l'Identité Numérique et ai pu accéder au site de l'Assurance Retraite pour commencer mes démarches afin d'obtenir ma retraite française. Ma joie fut de courte durée car au moment d'introduire mon adresse postale en Argentine dans le formulaire, un message m'a immédiatement informé que je ne pourrai pas continuer cette démarche sur le site et que je devais obligatoirement m'adresser à l'administration argentine !
Ayant décidé de ne plus utiliser ces services, j'ai pris contact avec celui des affaires sociales de l'Ambassade de France à Buenos Aires qui m'a fourni les coordonnées du "Corresponsal Nacional para Argentina" du "Polo de Relaciones Internacionales" de la CARSAT Aquitaine (1). J'ai finalement pu initier les démarches de ma retraite directement avec ce service car ma carrière dans les deux pays était déjà complète. Et ces démarches sont arrivées à bon port. Je bénéficie aujourd'hui d'une retraite argentine et d'une retraite française pour les années travaillées dans chaque pays.
Je suis convaincue que tous les problèmes auxquels j'ai dû faire face et qui ont généré des moments d'incertitude et d'angoisse ne se seraient pas présentés si la Convention mettait à notre disposition des interlocuteurs directs en France pour nous aider dans nos démarches administratives.
C'est à mon avis l'obstacle majeur de cette Convention.
 
1: La Carsat Aquitaine gère les dossiers des retraités français vivant en Argentine.

Publié dans Argentine

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Un si long parcours pour obtenir sa retraite via la convention franco-argentine

Publié le par FrançaisduMonde.adfe.conesud

Ah qu'il est ardu le chemin pour obtenir sa retraite française lorsqu'on vit en Argentine! Bien sûr, la fameuse convention franco-argentine a permis une reconnaissance de la durée de travail effectuée dans les deux pays ce qui est un progrès indéniable. Néanmoins, de nombreuses françaises et français qui me contactent pour ce sujet me font part de leurs difficultés personnelles. Et chaque cas possède son lot de particularités! Voici le témoignage d'une de nos concitoyennes. Pour des raisons évidentes dans ce monde hyperglobalisé, nous avons préféré que ce témoignage reste sous le sceau de l'anonymat même si sa véracité ne laisse aucun doute. Il est d'ailleurs fort probable que les lecteurs de ce message s'y retrouvent...
J.Guillot
 
Je suis argentine et française, j'ai 62 ans et réside à Buenos Aires depuis 1997. J'ai étudié et travaillé en France pendant 15 ans avant de retourner vivre à Buenos Aires avec ma famille française.
À l'âge de 59 ans j'ai entamé les démarches pour obtenir ma retraite argentine en utilisant les conditions établies par la Convention de Sécurité Sociale entre la France et l'Argentine. A cette époque-là, cela faisait 15 ans que j'exerçais comme professeur au Lycée Jean Mermoz de Buenos Aires et le cumul de mes années de carrière en Argentine et en France allait me permettre de bénéficier de la retraite argentine à l'âge de 60 ans.
Une fois ma demande de retraite reçue et acceptée par l'administration argentine, celle-ci a mis 6 mois pour envoyer en France mon relevé de carrière argentin et demander mon relevé de carrière français. Lorsque l'administration française a répondu, personne ici ne m'en a informé. Après de nombreuses visites aux bureaux de l'administration argentine, avant la pandémie, un agent de l'administration locale m'a finalement expliqué que le formulaire utilisé par l'administration française pour transmettre mon relevé de carrière n'était pas au format réglementaire. Puis il m'a fait savoir qu'ils n'allaient pas réclamer le bon formulaire à l'administration française et que par conséquent tout mon dossier risquait d'être refusé par l'administration argentine si je ne prenais pas en charge moi-même cette situation !
N'ayant pas d'interlocuteur en France, j'ai réussi à contacter la personne en charge de mon dossier français grâce à une déduction logique qui m'a permis de "deviner" son adresse mél en consultant divers courriers qu'elle m'avait envoyés, sans malheureusement m'avoir jamais transmis son adresse électronique. Ma logique fut couronnée de succès et la personne en question a non seulement eu l'amabilité de me répondre sinon qu'elle m'a envoyé très rapidement le formulaire attendu par l'administration argentine. Je ne parlerai pas ici des difficultés auxquelles j'ai dû faire face avec l'administration argentine en rapport avec l'application de la Convention car ceci ne concerne plus la France. J'ai finalement obtenu ma retraite argentine deux ans après l'avoir demandée et ceci grâce à l'intervention d'un cabinet d'avocats.
Le parcours a été très très difficile et semé d'embuches, à mon avis parce que la Convention établit que les ressortissants français résidant en Argentine doivent obligatoirement utiliser les services de l'administration argentine pour constituer leurs relevés de carrière qui leur permettent d'accéder aux deux régimes de retraite. Il n'y a aucun canal de communication ouvert avec l'administration française dans le cadre des démarches administratives en lien avec la Convention. L'administration argentine est la seule à s'occuper des dossiers initiés en Argentine et n'a aucune responsabilité envers l'administration française sur leur état d'avancement.

Publié dans Argentine

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Odyssey: un nouveau réseau d'établissement de l'enseignement français à l'étranger

Publié le par FrançaisduMonde.adfe.conesud

Né en 2017, Odyssey est un réseau qui possède déjà une quinzaine d'établissements à travers le monde. De structure privée, il a signé un accord cadre avec l'AEFE. Il s'inscrit dans le projet du président Macron de multiplier par deux, d'ici à 2030, le nombre d'élèves dans le monde où l'on enseigne en Français.

Est-ce le début d'un changement de paradigme dans la politique gouvernementale de l'enseignement français à l'étranger?

Le groupe Odyssey:

Odyssey

Lire aussi sur le journal des Français à l'étranger.fr

Enseignement français à l’étranger : Odyssey s’installe dans le paysage

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...Parcoursup

Publié le par FrançaisduMonde.adfe.conesud

Nous vous proposons de nombreux articles concernant Parcoursup, le site désormais indispensable pour l'orientation post-lycéenne et qui ne fait pas l'unanimité dans son fonctionnement.

Il est possible, pour les élèves de Terminale et grâce au site de la fondation "Alphaomega" de consulter un guide les aidant à mieux gérer leur orientation.

Pour plus d'infos, voir sur le site de Français du monde-ADFE:

S’orienter dès d’aujourd’hui grâce au guide Alphomega

 

Sur le site du Figaro étudiant.fr:

Parcoursup: comment étudier en France si j’habite à l’étranger?

 

 

 

Sur le site du Petit journal.com

Étudier en France : comment choisir ses vœux sur Parcoursup en tant qu’expat

PARCOURSUP: Toutes ces questions que vous vous posez depuis l'étranger

Sur le site de la Vie Publique:

Parcoursup : des progrès encore nécessaires sur la transparence des affectations

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...l'installation à l'étranger (hors UE)

Publié le par FrançaisduMonde.adfe.conesud

Sur le site du service public, retrouvez les principales réponses que vous vous posez avant d'entreprendre une expatriation.

Cliquez sur:

Français expatrié : vivre à l'étranger ailleurs qu'en Europe

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